E-Chastel
Ressources numériques
du Centre André Chastel
    • Accueil de DSpace
    • Théophile
    • Sculpture monumentale médiévale
    • Œuvres
    • Voir le document
    • français
    • English
  • français 
    • français
    • English
  • Ouvrir une session
E-Chastel
Ressources numériques
du Centre André Chastel
  •   Accueil de DSpace
  • Théophile
  • Sculpture monumentale médiévale
  • Œuvres
  • Voir le document
JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.

Bourges, Saint-Étienne - Portail Saint-Étienne, soubassement, ébrasement droit, écoinçon : le serpent-dragon

Localisation

Localisation géographique : Bourges, Cher, 18, France
Édifice : Cathédrale Saint-Étienne
Extérieur, Façade occidentale
Portail Saint-Étienne, Ébrasement droit, soubassement, partie supérieure de l'arcature, demi-écoinçon 4

Datation

2e quart 13e siècle

Description et iconographie

Techniques de l'œuvre : Sculpture
Iconographie :
Scènes : Sammaël ; Ornement à forme végétale : Vigne ; Ornement à forme animale : Oiseau
Cycles : Histoire de la Genèse : Création (La)
Description : Le serpent-dragon : il est ailé avec des pattes proéminentes et griffues. Il s'éloigne d'un arbre, vraisemblablement un pommier, qui porte encore quelques fruits. Sa longue queue suit la courbure de l'arc. Il se dirige vers la gauche, en direction d'un écoinçon central original, auquel les restaurateurs ont substitué les scènes du déluge refaites au XIXe siècle ; il se pourrait que cette scène ait été à l'origine intégrée à la scène du péché originel (portail du Jugement dernier, ébrasement gauche). La succession des scènes correspond en effet à la séquence hébraïque qui fait intervenir Sammaël avant la tentation, celle-ci étant l'œuvre d'un serpent-dragon dont il a revêtu l'apparence. La présence de pattes, souvent accompagnées d'ailes, chez le serpent-dragon tentateur, est généralement attestée à la fois dans les sources juives et chrétiennes, selon une iconographie codifiée par saint Isidore de Séville.
La frise qui surmonte ce demi-écoinçon se compose d'oiseaux placés par paires, se faisant face de part et d'autre d'une feuille de vigne. Elle est en correspondance étroite avec celles, que l'on pourrait qualifier de « zoomorphes », des premiers modules du cycle génésiaque.
Bibliographie : Brugger Laurence et Christe Yves, Bourges, la cathédrale, Saint-Léger-Vauban, Zodiaque, 2000 (ici p. 233-236 et p. 222).
Notice : Béatrice Coquet
Date de la notice : 02/02/2012
Photos de l'œuvreŒuvres associées

Photos de l'œuvre

Thumbnail

Photo

Bourges, Saint-Étienne - Portail Saint-Étienne, soubassement,...

Thumbnail

Photo

Bourges, Saint-Étienne - Portail Saint-Étienne, soubassement,...

Œuvres associéesVues d'ensemble

Œuvres associées - Vues d'ensemble

Thumbnail

Œuvre

Bourges, Saint-Étienne - Portail Saint-Étienne, soubassement de...

Recherche avancée

Parcourir par

Communautés & Collections
Copyright ©  Centre André Chastel
Flux RSS | Nous contacter | Connexion