Troyes, Saint-Urbain
Localisation
Édifice : Basilique Saint-Urbain
Extérieur, Ensemble
Datation
2e moitié 13e siècle ; Milieu 14e siècle ; Limite 19e siècle 20e siècle (1262-1266 ; 1276-1286 ; 1876)
Auteurs
Description et iconographie
Techniques de l'œuvre : Architecture
Notes
Notes sur l'œuvre : « On devrait cesser de tenir Jean Langlois pour un comptable, hypothèse qui va, de toute évidence, contre le témoignage des textes, et le rétablir dans son ancienne dignité de maître de l'œuvre de Saint-Urbain de Troyes. »
SOURCE : Salet Francis, Saint-Urbain de Troyes, « Congrès archéologique de France » (113e session, Troyes, 1955), 1957, p. 96-122 (ici appendice « Jean Langlois, architecte ou comptable ? », p. 118-122). « L'architecte qui, en 1261-1262, conçut et dessina jusque dans le détail un projet global qui n'a guère été altéré par la suite était sans doute ce Jean Langlois qui fut maître d'œuvre de Saint-Urbain avant 1267. » SOURCE : Finance, art. cit. « La question de l'identité du maître d'œuvre de la collégiale est posée à la fin de cette troisième partie. L'auteur [C. Onnen], après avoir résumé les hypothèses de F. Lefévre-Pontalis et de F. Salet tout en passant sous silence celle de M. Aubert, de R. Branner et de M. T. Davis, conclut que Jean Langlois nommé dans les sources en 1267 ne peut être considéré comme l'architecte et qu'il ne fut qu'un administrateur du chantier. » SOURCE : Isnard Isabelle, compte rendu de « Christine Onnen, “Saint-Urbain in Troyes. Idée und Gestalt einer päpstlichen Stiftung”, Kiel, Verlag Ludwig, 2004, 159 p. », « Bulletin monumental », 2006/2, p. 220-221.
SOURCE : Salet Francis, Saint-Urbain de Troyes, « Congrès archéologique de France » (113e session, Troyes, 1955), 1957, p. 96-122 (ici appendice « Jean Langlois, architecte ou comptable ? », p. 118-122). « L'architecte qui, en 1261-1262, conçut et dessina jusque dans le détail un projet global qui n'a guère été altéré par la suite était sans doute ce Jean Langlois qui fut maître d'œuvre de Saint-Urbain avant 1267. » SOURCE : Finance, art. cit. « La question de l'identité du maître d'œuvre de la collégiale est posée à la fin de cette troisième partie. L'auteur [C. Onnen], après avoir résumé les hypothèses de F. Lefévre-Pontalis et de F. Salet tout en passant sous silence celle de M. Aubert, de R. Branner et de M. T. Davis, conclut que Jean Langlois nommé dans les sources en 1267 ne peut être considéré comme l'architecte et qu'il ne fut qu'un administrateur du chantier. » SOURCE : Isnard Isabelle, compte rendu de « Christine Onnen, “Saint-Urbain in Troyes. Idée und Gestalt einer päpstlichen Stiftung”, Kiel, Verlag Ludwig, 2004, 159 p. », « Bulletin monumental », 2006/2, p. 220-221.
Notice : Béatrice Coquet
Date de la notice : 25/03/2015