Voici les éléments 1-20 de 13087

    Calvaire (2)
    Cancer (Le) (5)
    Capricorne (Le) (5)
    Cardinal Ancher (1)
    Cardinal de La Grange : chapeau, blason et pendentifs (restes discernables). (1)
    Cardinal Jean de La Grange. À sa gauche, son blason « de gueules, à trois oiseaux d'argent, au franc canton dhermine », surmonté du chapeau de cardinal. (1)
    Cathédrale d'Amiens (14)
    Cavalier (2)
    Cavalier désarçonné, pouvant personnifier l'orgueil [hypothèse, dans le cas où le cycle est bien celui des vices, selon Decrock 2000]. (1)
    Cavalier Fidèle et Véridique (Le) (1)
    Caïn tue Abel à l'aide d'une pierre. Ce dernier élève sa main gauche et tente en vain de se protéger. L'identification de l'arme du fratricide permet de rattacher cette scène à des sources juives. La frise est constituée d'une succession de feuilles largement ouvertes, à cinq lobes appointés. (1)
    Ce violoniste ne porte que son instrument et est nu-tête - ce n'est donc pas un vieillard de l'Apocalypse. C'est David le psalmiste qui a dit : « C'est ici la porte de Yahvé, les justes entreront. » (Psaumes CXVIII, 20), parole considérée comme une prophétie de la naissance du Christ : il figure sous les scènes de chapiteaux de l'Annonciation, la Visitation et la Nativité [description de Heimann, pour qui les personnages et scènes identifiables de ce pilastre illustreraient un cycle de la naissance virginale du Christ et de sa mère] = Les petits personnages des piédroits et des contreforts semblent se rapporter, du moins pour une partie d'entre eux, aux scènes des chapiteaux qui les surmontent. Ainsi, sous la Nativité, David chantant les psaumes [description de Sauerländer] = Un ménestrel ou un trouvère : il joue du rebec, mais l'archet que tenait sa main droite a disparu ; ses jambes croisées esquissent un pas de danse ; son visage réaliste est fortement individualisé. Ce ne peut être David car il n'est pas couronné [description de Villette] - figure entre deux colonnes torsadées. (1)
    Centaure (4)
    Cerf (1)
    Cette scène, sans doute en relation avec la statue extérieure de l'ébrasement (un souverain non identifié), reste énigmatique. - Pour D. Sandron, la scène peut être identifiée comme l'hommage d'un souverain agenouillé envers un autre trônant majestueusement où il faut reconnaître la Vierge. - Pour O. Pinard, elle pourrait illustrer « un don du roi Philippe Auguste. L'obituaire de Notre-Dame, à la date anniversaire du décès de Philippe Auguste, le 14 juillet 1223, rappelle les bienfaits du défunt roi envers la cathédrale : il avait donné, entre autres, des cheveux de la Vierge, trois dents de Jean-Baptiste, des pierres dont fut lapidé saint Étienne et la tête du précieux martyr Denis – reliques déposées à Saint-Étienne puis portées à la nouvelle cathédrale en 1218. Un tel don expliquerait la présence ici de ces statues, figurant des saints dont la cathédrale possède des reliques, cadeau insigne du roi. Selon un autre document daté de 1410, Philippe – et non Constantin, comme le pensait Viollet-le-Duc – avait été ici représenté « en jeune âge pour ce qu'il fut couronné au XIIIIe an de son âge » (cité par C. Gauvard dans son « Notre-Dame de Paris », 2006). Le bas-relief correspondant le confirme : un homme couronné déroulant une longue banderole s'y agenouille avec une reine nimbée, figurant le roi Philippe présentant l'acte de donation des reliques à la Vierge. » (1)
    Chameau (1)
    Chandelle (1)
    Chanoine (2)
    Chant : Jardin d'Eden : Musicien : Personnification (4)
    Chapelles sud de la nef de la cathédrale d'Amiens [état antérieur à 1850] (élévation extérieure). (1)