Voici les éléments 1-20 de 13087

    Galanterie (1)
    Galerie de rois, probablement des rois de France. La plupart portent le costume habituellement donné aux rois du XIIIe siècle : longue cotte serrée à la taille, couverte parfois du surcot, et manteau ou chape. Tous portent la couronne, la plupart tiennent un sceptre, plus rarement un autre attribut. (1)
    Gargouille (17)
    Gargouille. (1)
    Gargouilles (1)
    Gargouilles (au sommet des contreforts). Frise végétale (au sommet, tout au long de la nef). (1)
    Gargouilles. (1)
    Gauthier Cornut, archevêque de Sens (1)
    Geoffroy d'Eu, évêque d'Amiens (1)
    Gisant d'Adrien de Hénencourt, en habits de prêtre et reposant sur une simple natte roulée sous la tête, les pieds nus. Le cadre de l'enfeu est orné (frise végétale et animalière, blason peint d'Adrien de Hénencourt (?) et petits personnages sculptés) et au fond de l'enfeu sont peints des pleurants. (1)
    Gisant d'Adrien de Hénencourt. Le gisant semble reposer sur les treize médaillons illustrant la vie et les miracles de saint Firmin, censé lui accorder sa protection. (1)
    Gisant de Ferry de Beauvoir : le défunt allongé foule aux pieds un lion ; il est somptueusement revêtu de ses attributs épiscopaux, un collège apostolique est brodé sur l'orfroi de sa chape. (1)
    Gisant de Ferry de Beauvoir. Autour de l'enfeu, peintures murales : le collège apostolique (Credo) ; deux chanoines dévoilant le sarcophage-autel sur lequel sont représentés, à l'intersection et entre les bras d'une grande croix blanche, l'Agnus Dei et les symboles des évangélistes sous la forme du tétramorphe. (1)
    Gisant de Jean de La Grange, évêque d'Amiens puis cardinal (mort en 1402) : le prélat est couché, les mains jointes, la tête appuyée sur un coussin et revêtu de tous les ornements pontificaux. Le chapeau cardinalice est à ses pieds, sans faire corps avec la statue. Le visage est évidemment un portrait du cardinal, beaucoup plus jeune qu'à sa mort, puisqu'il nous apprend lui-même par son testament qu'il y avait longtemps qu'il l'avait fait faire. Au fond de la niche, une épitaphe est gravée sur une plaque de marbre noir. (1)
    Gisant de l'évêque Geoffroy d'Eu (mort en 1236), successeur d'Évrard de Fouilloy, qui poursuivit les travaux de la cathédrale et livra au culte la première partie de l'édifice. L'évêque est représenté couché, vêtu de ses ornements pontificaux ; ses mains sont gantées, la droite bénit, la main gauche tenait la crosse dont la pointe s'appuyait dans la gueule de l'un des deux griffons sur lesquels reposent ses pieds ; la tête est appuyée sur un coussin sans broderie. L'évêque est sous une arcade trilobée, dont les écoinçons conservent des traces d'arrachement - probablement étaient représentés des anges thuriféraires. Six lions couchés supportent le socle. Plus simple que le tombeau d'Évrard, celui de Geoffroy d'Eu porte quelques ornements accessoires, y compris l'inscription, simplement gravés à la pointe. (1)
    Gisant de l'évêque Gérard de Conchy (mort en 1257). Il est revêtu de ses ornements pontificaux, tient une crosse et bénit de la main droite. La tête appuyée sur un coussin est abritée par un dais d'architecture porté par deux colonnettes avec chapiteaux (sculptés de crochets et feuilles de lierre et de vigne). Gâble marqué d'un trilobe enserrant un cep de vigne, orné de crochets et d'un fleuron au sommet. Côté du tombeau décoré d'une frise de quadrilobes. (1)
    Gisant de l'évêque Évrard de Fouilloy (mort en 1222), l'initiateur de la cathédrale gothique d'Amiens. L'évêque est magnifié dans le bronze, sous une arcade simulant l'architecture de l'église qui l'abrite et qu'il incarne, encensé par des anges et foulant les puissances du mal. L'épitaphe est gravée le long de la bordure : « qui fundamenta locavit hujus structure ... » Dans les écoinçons de l'arc figure un décor architecturé. L'évêque est vêtu de ses ornements pontificaux, sa tête reposant sur un coussin brodé ; sa main droite bénit et la gauche, renversée et dirigée vers le sol, tenait une crosse dont la pointe s'appuyait dans la gueule de l'une des deux chimères qu'il foule de ses pieds. De part et d'autre de son corps figurent deux petits anges thuriféraires (chacun n'a plus qu'une aile, l'autre s'élevait en l'air mais on n'en voit plus que les arrachements) et deux petits moines portant chacun un cierge allumé. Six lions à demi couchés supportent le socle du tombeau. (1)
    Gisant de Simon de Gonçans, évêque d'Amiens (mort en 1325) : la statue a la tête appuyée sur un coussin et abritée par un dais. L'évêque est représenté avec tous les ornements pontificaux. Sur le fond de la niche ont été peintes, lors de la restauration du XIXe siècle, les armes du prélat d'après le père Daire : « d'or papelonné de sable, à la bande d'azur », surmontées d'une mitre. Pleurants, la tête encapuchonnée dans un vaste chaperon (soubassement du coffre). (1)
    Gisant de Thomas de Savoie, chanoine de la cathédrale (mort en 1332 ou 1335-36) : le chanoine porte le costume de ville ; il a les mains jointes, la tête nue, les cheveux à hauteur de nuque, sans tonsure. Sa tête est appuyés sur un coussin et abritée par un dais d'architecture ; ses pieds reposent sur un lion. Sur le fond de la niche ont été peintes, lors de la restauration du XIXe siècle, les armoiries du chanoine telles qu'elles ont été blasonnées par Lamorlière et le père Daire. Pleurants, la tête encapuchonnée dans un vaste chaperon (soubassement du coffre). (1)
    Glorification de la Vierge (4)